Depuis la crise politique qui a débuté au mois d’avril 2015 au Burundi, de nombreux cas de violations des droits de l’homme sont enregistrés et dénoncés par les organisations de défense des droits de l’homme. L’ACAT Burundi ne cessera de se joindre à cette importante mission de surveillance des violations des droits de l’homme au Burundi qui s’inscrit dans la lutte contre l’impunité.
En effet, la Justice burundaise demeurant toujours à la solde de l’Exécutif, ne permet pas aux victimes ainsi qu’à leurs familles d’exercer leur droit à une Justice impartiale face aux abus et exactions réguliers des agents de l’Etat et leurs complices. Cette impunité est encouragée par le récent retrait officiel du Burundi du Statut de Rome instituant la Cour Pénale Internationale. C’est un acte irréfléchi aux yeux des Burundais et de la communauté internationale car un pays comme le Burundi, théâtre des violations massives des droits de l’homme y compris les crimes contre l’humanité, est le seul pays au monde entier qui a osé poser un tel geste.
Toutefois, ces développements ne devraient pas décourager les défenseurs des droits de l’homme et tous ceux qui adhèrent au principe de lutte contre l’impunité au Burundi car ce retrait ne pourra pas freiner les procédures en cours devant la CPI. Aussi, il existe d’autres mécanismes régionaux et internationaux auxquels les défenseurs peuvent recourir pour enfin voir les présumés auteurs des violations des droits de l’homme traduits en justice.
C’est pour cette raison qu’ACAT-BURUNDI continue de bien documenter et dénoncer ces violations perpétrées au Burundi en toute impunité.
Dans le présent rapport, 69 cas d’assassinats et de disparitions forcées, 134 cas d’arrestations arbitraires et détentions illégales, 44 d’atteinte à l’intégrité physique, ont pu être répertoriés au cours de la période couverte de septembre et octobre 2017 .Toutefois quelques cas emblématiques seront décrits à titre illustratif.
Les derniers développements du dossier Germain Rukuki, ancien membre de l’ACAT Burundi en détention arbitraire depuis le 13 juillet 2017 sont également évoqués ainsi que d’autres cas illustratifs de violations des droits de l’homme enregistrés au cours de la même période.
Veuillez consulter l’intégralité du rapport en bas:
Rapport des violations des droits humains de septembre à octobre par Acat Bdi
En effet, la Justice burundaise demeurant toujours à la solde de l’Exécutif, ne permet pas aux victimes ainsi qu’à leurs familles d’exercer leur droit à une Justice impartiale face aux abus et exactions réguliers des agents de l’Etat et leurs complices. Cette impunité est encouragée par le récent retrait officiel du Burundi du Statut de Rome instituant la Cour Pénale Internationale. C’est un acte irréfléchi aux yeux des Burundais et de la communauté internationale car un pays comme le Burundi, théâtre des violations massives des droits de l’homme y compris les crimes contre l’humanité, est le seul pays au monde entier qui a osé poser un tel geste.
Toutefois, ces développements ne devraient pas décourager les défenseurs des droits de l’homme et tous ceux qui adhèrent au principe de lutte contre l’impunité au Burundi car ce retrait ne pourra pas freiner les procédures en cours devant la CPI. Aussi, il existe d’autres mécanismes régionaux et internationaux auxquels les défenseurs peuvent recourir pour enfin voir les présumés auteurs des violations des droits de l’homme traduits en justice.
C’est pour cette raison qu’ACAT-BURUNDI continue de bien documenter et dénoncer ces violations perpétrées au Burundi en toute impunité.
Dans le présent rapport, 69 cas d’assassinats et de disparitions forcées, 134 cas d’arrestations arbitraires et détentions illégales, 44 d’atteinte à l’intégrité physique, ont pu être répertoriés au cours de la période couverte de septembre et octobre 2017 .Toutefois quelques cas emblématiques seront décrits à titre illustratif.
Les derniers développements du dossier Germain Rukuki, ancien membre de l’ACAT Burundi en détention arbitraire depuis le 13 juillet 2017 sont également évoqués ainsi que d’autres cas illustratifs de violations des droits de l’homme enregistrés au cours de la même période.
Veuillez consulter l’intégralité du rapport en bas:
Rapport des violations des droits humains de septembre à octobre par Acat Bdi