En date du 12 au 14 novembre, il y a eu des échanges préliminaires à Genève sur la situation des droits de l’homme au Burundi entre les représentants de la société civile burundaise et les missions permanentes.
Ces sessions avaient pour objectif de préparer l’examen du Burundi pour janvier 2018.
Il faut noter que malgré les recommandations avec les organes des Traités, le pays n’a pas fourni au comité des droits de l’homme les informations requises lors de la 112 eme session.
Les nouveaux développements avec la crise politique que vit le Burundi depuis 2015 par rapport à la torture au Burundi sont les représailles contre les acteurs de la société civile ; le refus de coopération avec le Conseil des Droits de l’Homme et le Haut-Commissariat aux Droits de l’Homme.
Il d’une impérieuse nécessité de coopérer avec la Cour Pénale Internationale pour mettre fin à la situation d’impunité des crimes graves (torture, viol, disparitions forcées…).
Actuellement, il faut veiller aussi au respect des garanties procédurales autour de la personne privée de liberté, la mise en place d’un mécanisme national de prévention contre la torture, un fond d’indemnisation des victimes de la torture, etc.
Le rapport détaillé sur la situation des droits de l’homme au Burundi de la société civile sera présente au mois de janvier 2018 lors de l’examen sur le Burundi.
Ces sessions avaient pour objectif de préparer l’examen du Burundi pour janvier 2018.
Il faut noter que malgré les recommandations avec les organes des Traités, le pays n’a pas fourni au comité des droits de l’homme les informations requises lors de la 112 eme session.
Les nouveaux développements avec la crise politique que vit le Burundi depuis 2015 par rapport à la torture au Burundi sont les représailles contre les acteurs de la société civile ; le refus de coopération avec le Conseil des Droits de l’Homme et le Haut-Commissariat aux Droits de l’Homme.
Il d’une impérieuse nécessité de coopérer avec la Cour Pénale Internationale pour mettre fin à la situation d’impunité des crimes graves (torture, viol, disparitions forcées…).
Actuellement, il faut veiller aussi au respect des garanties procédurales autour de la personne privée de liberté, la mise en place d’un mécanisme national de prévention contre la torture, un fond d’indemnisation des victimes de la torture, etc.
Le rapport détaillé sur la situation des droits de l’homme au Burundi de la société civile sera présente au mois de janvier 2018 lors de l’examen sur le Burundi.