Toute communauté a besoin d’une représentation pour une meilleure organisation et pour la défense des intérêts communs. La population carcérale du Burundi qui vit dans les conditions les plus précaires qui sont d’ailleurs en deçà des conditions légalement admises a beaucoup plus besoin d’une certaine organisation pour parvenir à trouver des dénouements aux problèmes qui la hante.
Malgré cette nécessité, l’administration pénitentiaire met les bâtons dans les roues en imposant aux prisonniers une représentation de son choix guidé par des intérêts égoïstes ou des sollicitations politiciennes.
Veuillez trouver en bas l’intégralité de la déclaration :
Déclaration de l’Acat-Burundi sur la maltraitance des détenus avec la complicité de l’administration pénitentiaire(rôle des capitas)