Amnesty International appelle les autorités burundaises à libérer immédiatement et sans condition cinq défenseurs des droits humains détenus seulement en raison de leurs activités en faveur des droits fondamentaux. Germain Rukuki, dont le procès a débuté ce mardi 13 février, Nestor Nibitanga, Emmanuel Nshimirimana, Aimé Constant Gatore et Marius Nizigiyimana sont tous inculpés d’atteinte à la sûreté intérieure de l’État. Amnesty International considère ces cinq hommes comme des prisonniers d’opinion car ils sont incarcérés uniquement pour avoir exercé de manière pacifique leurs droits humains.
Veuillez trouver en bas l’intégralité de la déclaration :
Declaration Publique sur la libération des prisonniers d’opinion
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