La célébration de cette journée internationale de la non-violence arrive au Burundi au moment où nous assistons à une détérioration de la situation des droits de l’homme et une croissance de recours à la violence.
Rappelons que cette journée est célébrée le 2 octobre, le jour d’anniversaire de la naissance de Mahatma Gandhi, leader du mouvement pour l’indépendance de l’Inde et pionnier de la pensée à la non-violence.
Le récent rapport de la commission d’enquête du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unis sur le Burundi montre que les assassinats, les disparitions forcées, le recours à la torture et les violences sexuelles sont fréquentes depuis la crise politique de 2015 liée au troisième mandat du Président Pierre Nkurunziza.
Rappelons que cette journée est célébrée le 2 octobre, le jour d’anniversaire de la naissance de Mahatma Gandhi, leader du mouvement pour l’indépendance de l’Inde et pionnier de la pensée à la non-violence.
Le récent rapport de la commission d’enquête du Conseil des Droits de l’Homme des Nations Unis sur le Burundi montre que les assassinats, les disparitions forcées, le recours à la torture et les violences sexuelles sont fréquentes depuis la crise politique de 2015 liée au troisième mandat du Président Pierre Nkurunziza.
Acat-Burundi a déjà documenté de « janvier à septembre 2017 » 191 cas d’assassinats ciblés, 78 cas d’exécutions extrajudiciaires ,703 cas d’arrestations arbitraires. Ces actes sont commis par la police, les agents du Service National de Renseignement et les Imbonerakure.
Acat-Burundi demande à tous les burundais, surtout les jeunes militants des partis politiques, principalement les jeunes Imbonerakure du CNDD-FDD, souvent cités dans les crimes, d’éviter la violence. Ces jeunes doivent se désolidariser avec ceux qui les incitent à recourir à la violence car la responsabilité pénale est individuelle a dit Maitre Armel Niyongere, Président de l’Acat-Burundi.